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On a écouté l’album « Trop tôt pour mourir » de Dosseh

Plus de quatre ans séparent la sortie de Vidalossa et celle de Trop tôt pour mourir, une éternité pour un rappeur d’ordinaire aussi productif que Dosseh. Si la mixtape Summer Crack 4 et quelques morceaux inédits ont alimenté son public durant ce laps de temps, la plume aiguisée de l’orléanais manquait malgré tout au rap français. Le début de l’automne 2022 est donc le moment choisi pour marquer le retour du demi-frère de Pit Baccardi, épaulé comme depuis de nombreuses années par Oumar Samaké et l’équipe du label SPKTAQLR. Dix-neuf morceaux constituent cet album, annoncé par un court-métrage promotionnel qui promet énormément d’introspection et de remise en question de la part de Dosseh, artistiquement et humainement.

 

 

Dina Sanichar


L’album débute par un kickage frénétique, qui renvoie directement aux débuts de Dosseh, quand il évoluait dans l’ombre des grosses têtes à la fin des années 2000. Il déverse toute sa rage deux couplets durant, dans la position classique du rappeur seul contre tous, d’où la comparaison avec Dina Sanichar. Ce nom est celui d’un enfant indien qui a grandi dans la nature au XIXème siècle et a inspiré à Rudyard Kipling le personnage de Mowgli dans Le livre de la jungle, ce dernier n’a jamais su s’adapter à la civilisation et la vie en société. Le court-métrage La peau de l’Ours, dévoilé en amont du projet, montre d’ailleurs un Dosseh retranché loin du monde, renvoyant le même côté sauvage que celui qui a inspiré ce titre introductif.

Dina Sanichar - Wikipedia

 

RS-28

 

Autre forme de sauvagerie, le missile RS-28, également connu sous le nom de Satan-2, est l’une des principales menaces brandies par Vladimir Poutine dans le conflit ukrainien. Comme dans le titre précédent, Dosseh se place à l’écart de ses semblables, d’où l’allusion au dictateur russe : « C’est nous contre le reste du monde comme Poutine ». Il n’est cependant pas seul, et fait référence au dernier album de son confrère Lacrim : « Persona non grata comme Karim Zenoud », d’ailleurs auteur du morceau Poutine. L’évocation de cette arme dans un egotrip renvoie également à la cover du projet, qui montre Dosseh brandissant un fusil à pompe, prêt à faire feu, ce qui est révélateur de l’état d’esprit de ce début d’album.

 

 

Mode S

 

Illustré par un street-clip qui rappelle le rap des années 2000, ce titre est une nouvelle démonstration de technicité de Dosseh, qui enchaîne divers flows avec une facilité déconcertante. Le refrain est entraînant et semble calibré pour les concerts et festivals, sans toutefois que le morceau n’entre dans des standards radiophoniques.

 

 

Djamel

 

Beaucoup de choses ont déjà été dites sur ce storytelling tant il est émouvant. Il y raconte l’histoire de Djamel, l’un de ses amis intimes, et le récit de sa soirée du 13 novembre 2015, qui débute par des moments festifs avec ses amis avant qu’ils ne soient attaqués par les terroristes. Le chaos est rapidement semé et Paris est à feu et à sang, Djamel est cloué au sol et assiste impuissant à la mort de sa meilleure amie Djamila, tandis que lui perd une jambe. Le récit est tellement immersif qu’on est irrémédiablement pris dans l’action et ressent la douleur de Djamel. On sent la douleur physique devenir tellement intense que le corps ne la sent presque plus et la mort approcher à grands pas pour Djamel, sauvé in extremis par les ambulanciers. Sept ans plus tard, Djamel prend cette tragédie avec philosophie et transmet les valeurs que cette épreuve lui a apportées à sa fille, en concluant sur les mêmes mots prononcés par les terroristes, « Allahu Akbar », « Dieu est grand », car il était probablement trop tôt pour lui pour mourir.

Aucune description disponible.

 

 

Plus belle la vie, plus belle la mort (feat. Tiakola)

 

La voix mélodieuse de Tiakola est utilisée de diverses manières sur d’innombrables albums de rap en 2022, ici Dosseh lui permet de rendre plus légère l’ambiance du projet, dont les quatre premiers titres étaient très sombres. Ce titre est un message d’espoir, nécessaire après avoir évoqué l’horreur du terrorisme juste avant, qui rappelle la nécessité de profiter de la vie car elle peut s’arrêter ou être bouleversée n’importe quand. Dosseh rappe notamment « On dit que la vie est une chienne, moi, j’crois qu’c’est nous qui sommes les siennes », cette phrase résume assez bien la vibe du morceau. Cependant, le titre de l’album rappelle la nécessité de faire face à toutes ces épreuves.

 

 

Smooth Criminel (feat. Zed)

 

Après le single Papillon en 2018 sur lequel Dosseh réunissait tout le 13 Block, une nouvelle connexion avec Zed voit le jour sur cet album. Sur une instrumentale assez enjouée, les deux rappeurs jouent de l’ambivalence entre leur côté street et leur goût pour le luxe, une imagerie que Dosseh explorait déjà en 2013 avec Sofiane dans Survêts et costards. Le titre fait évidemment référence à un classique de Michael Jackson, à qui l’expression “trop tôt pour mourir“ peut également s’appliquer.

 

 

Caïman & Astrakan

 

Le goût de Dosseh pour le luxe s’exprime à nouveau dans ce titre, ici, ce luxe apparaît comme un marqueur d’élévation sociale. Ainsi, être vêtu de caïman et d’astrakan, une race de moutons très rare originaire d’Asie centrale, atteste de la réussite de Dosseh, même si cela peut également soulever certaines questions éthiques et écologiques. Le contraste entre sa vie d’avant dans les rues d’Orléans et le statut que lui confère aujourd’hui la musique est néanmoins saisissant. Il rappait déjà en 2015 dans L’âge de nos actes : « J’ai l’âge de dépenser les lions-mi, j’suis censé avoir amassé », Caïman & Astrakan apparaît donc comme une confirmation de la réalisation de ses ambitions.

 

 

Fleur d’Automne

 

Pit Baccardi a signé l’un des morceaux les plus émouvants de l’Histoire du rap français avec Si loin de toi, dans lequel il rend hommage à sa mère, qui a perdu la vie en lui donnant naissance. Dosseh naquit de l’union ultérieure du père de Pit Baccardi avec une autre femme, qui l’a vu grandir et devenir l’artiste qu’il est aujourd’hui, avant que le cycle de la vie fasse son œuvre et qu’elle aussi finisse par quitter ce monde. Dosseh, qui avait rendu un pudique hommage à son père sur quelques mesures de son tube Habitué, se livre cette fois dans ce qui est probablement le titre le plus poignant de sa carrière. Pendant plus de quatre minutes, il chante à la gloire de sa défunte mère, victime d’un cancer, “cette sombre bête immonde“, mais qui a continué malgré la maladie à être extrêmement altruiste et à faire le bien autour d’elle sans se plaindre de sa propre situation. Dosseh ne s’est jamais autant mis à nu devant l’auditeur, qui se retrouve transporté par ce torrent d’émotions, qu’il ait connu ou non les mêmes épreuves. Au final, il n’y a pas tant de choses à dire d’un tel morceau, simplement à admirer la beauté de cette œuvre. Pour la mère de Dosseh comme pour toutes les autres victimes du cancer, il était “trop tôt pour mourir“.

 

 

Je te pardonne

 

Face à la perte d’un proche, les disputes et embrouilles du quotidien paraissent très futiles, et Dosseh ne semble plus avoir de temps pour ressentir de la rancœur envers quiconque, pas le temps pour les regrets comme dirait Lunatic. Il reste cependant conscient d’être exposé aux ressentiments d’éventuels anciennes connaissances jalouses de sa réussite, un thème qu’il avait déjà développé dans Abel & Caïn, mais cela appartient à son passé, son train de vie actuel est bien éloigné de tout cela.

 

 

La vie de César (feat. Werenoi)

 

À l’image de la collaboration avec Zed plus tôt dans l’album, ce featuring permet également à Dosseh d’étaler son drip et de vanter sa réussite. La facilité déconcertante de son egotrip se marie à merveille avec la fougue de Werenoi, qui fait les backs du couplet de Dosseh et du refrain avant de livrer lui-même un couplet de très bonne facture. Le titre est bien plus enjoué et énergique que les précédents et sort l’album de l’ambiance mélancolique dans laquelle les deux derniers titres l’ont placé.

 

 

Rien n’a changé

 

Le morceau débute par le refrain, qui est lui-même une parfaite définition de ce qu’est devenu Dosseh au fil du temps : « Y’a rien qui a bougé, j’ai juste changé de rêves et de standards / J’serai toujours le même enfoiré, glaive en croix sur l’étendard ». Malgré les changements que la vie d’artiste a créé dans sa vie il tient à rester le même humain et à conserver les mêmes valeurs, les mêmes qu’il évoquait dans Fleur d’Automne quand il faisait référence à ce que sa mère lui a transmises.

 

 

Destinée

 

Chaque morceau de rap français qui porte ce titre fait irrémédiablement penser au classique de Booba et Kayna Samet, et par conséquent à quelque chose que “tu peux pas contrôler“, “tu peux pas imiter“. Celle de Dosseh lui est également propre, et il semble prêt à tout pour l’atteindre, l’abandon n’est pas une option envisageable. Il s’agit peut-être du seul titre solo de l’album à s’apparenter à un format radio mais le fond n’est cependant pas négligé. Le refrain autotuné prend ainsi une dimension presque héroïque.

 

 

N’écoute pas tes copines (feat. Leto)

 

Sur un sample du tube Tu es mon soleil de la chanteuse de zouk Princess Lover, le rappeur d’Orléans et la moitié de PSO Thug enfilent leurs costumes de playboys. Après deux tiers d’album très autocentrés, Dosseh s’adresse ici davantage à la gent féminine, et la présence de Leto apporte une touche de douceur supplémentaire, et, dans le sillage du morceau précédent, un zeste de légèreté à cet album.

 

 

Amsterdam (feat. Lacrim)

 

La parenthèse ensoleillée de cet album se poursuit avec une nouvelle collaboration, sur laquelle on retrouve Lacrim. Leur premier duo, VLT, était un egotrip assez percutant, et les deux compères en prennent ici le contrepied en proposant un morceau très estival, dont le clip a été dévoilé courant août. On y voit Dosseh et Lacrim prendre du bon temps et profiter de vacances bien méritées. S’il est trop tôt pour mourir, il est en revanche grand temps de profiter de ce que la vie a à offrir.

 

 

Demain j’arrête (feat. Dinos)

 

La connexion entre les deux protégés d’Oumar Samaké fonctionne toujours à merveille, avec un Dinos qui apporte ici un côté aérien et planant au morceau. Cette touche de spleen permet de redescendre après l’insouciance du morceau précédent avec Lacrim, avant d’embrayer vers la fin du projet.

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Sky Dweller

 

Un refrain entraînant et un long couplet unique suffisent à Dosseh pour étaler ses talents de rimeur et revenir une nouvelle fois sur son parcours singulier. Donner au morceau le nom d’une montre de luxe montre une nouvelle fois la valeur du chemin parcouru, tout en insistant sur la préciosité du temps : « Si je manque de temps c’est que je manque de tout ». Dosseh insiste sur le fait de tuer le temps pour éviter que ce soit l’inverse, ce qui renvoie une nouvelle fois au titre de l’album.

 

 

Branché (feat. Momsii)

 

La dernière collaboration de cet album prend la forme d’un storytelling en passe-passe, où Dosseh s’adresse depuis l’extérieur à un Momsii incarcéré, ce qui rappelle forcément Ali et Booba dans La lettre. Mis en images dans un clip dévoilé juste avant la sortie de l’album, le morceau montre une nouvelle facette de l’immense éventail artistique de Dosseh, qui se place d’un point de vue extérieur à la maison d’arrêt, donnant des nouvelles du monde extérieur à Momsii, qui prépare du mieux qu’il peut sa libération.

 

 

L’algorithme de Dieu

 

La simple lecture du titre du morceau donne déjà une impression de grandeur, confirmée par la leçon de rap délivrée par Dosseh dans ce couplet unique. Il excelle dans l’egotrip et le prouve une énième fois. L’expression “algorithme de Dieu“ désigne un principe mathématique déterminé pour résoudre divers casse-têtes et problèmes mathématiques, tels que le Rubik’s Cube. Appliqué à la vie de Dosseh, l’algorithme de Dieu peut être vu comme le chemin le plus court vers la gloire, le succès et l’accomplissement de ses objectifs personnels, en évitant autant que possible tout ce qui pourrait le freiner dans son ascension, comme la vie de rue et les relations houleuses que celle-ci induit. Après avoir suivi cet algorithme, Dosseh constate la distance qui le sépare de ceux qui ont refusé de le suivre, et s’éloigne définitivement de l’environnement dans lequel il a grandi.

 

 

Trop tôt pour mourir

 

L’ultime track de l’album est également le morceau éponyme, dans lequel Dosseh constate sa réussite et le luxe que celle-ci lui offre, et se retrouve face à la tentation de sombrer dans la suffisance et l’oisiveté. Dans un élan de conscience il finit par refuser cet état et choisit de capitaliser sur la valeur travail : « J’prie Dieu pour le pardon et j’retourne aux affaires ». Dosseh rappait déjà en 2012, sur le remix de La sentence de Nakk Mendosa où R.E.D.K. et lui étaient invités : « J’serai éternel dans les mémoires vu que le futur c’est moi / Et qu’demain ne meurt jamais, demande à Pierce Brosnan », et ce morceau apapraît dix ans plus tard comme un prolongement de cette punchline, la maturité et l’expérience l’aidant à rendre son œuvre intemporelle et donc la rapprocher de l’immortalité. On peut rapprocher ce texte des images montrées dans le court-métrage La peau de l’Ours, qui montre Dosseh en plein doute, face à lui-même, avant de se décider à travailler sur cet album. La fin du morceau, notamment la phrase : « La vie c’est qu’une suite de cycles et j’en commence juste un nouveau » place cet album comme celui du renouveau, qui ouvre une nouvelle étape de sa carrière. L’ultime phrase reprend l’idée directrice de l’album : « Et j’en ai pas encore fini, il est trop tôt pour mourir », promettant d’enrichir encore plus cette discographie déjà immense.

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Chronique réalisée par Adrien

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