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Dernière signature en date du label SPKTAQLR, Steban n’en est cependant pas à son coup d’essai dans le rap. L’ancien membre de Lygne 26 est dans le milieu depuis longtemps maintenant, mais c’est seulement depuis le début des années 2020 qu’il prend son véritable envol en solo. Avec Mode Sport 2, premier projet sous sa nouvelle structure, il compte passer un cap supplémentaire, et s’est confié à Scred Magazine pour l’occasion.

 

 

ADRIEN : Steban, j’’espère que tu vas bien. On est là pour parler de ta dernière mixtape, Mode Sport 2. C’est ton quatrième projet depuis 2020, et le premier sur le label SPKTAQLR. Pourtant, tu es dans le rap depuis beaucoup plus longtemps que ça, tu as commencé dans la fin des années 2000 avec le groupe Lygne 26 à Marseille. on Est-ce que tu penses que le public te considère davantage comme un rookie ou comme un ancien ?

STEBAN : Je pense que ça dépend d’à quel moment tu m’as découvert. Je pense qu’il y a un public qui m’a découvert dans la période post-confinement, quand j’ai sorti mon premier EP, Base 015, et on va dire qu’il y a un public plus local qui me connaît depuis les années 2010 avec mon groupe, et avec Internet, certains ont pu suivre mon parcours. Mais la majorité du public qui me suit en ce moment me connaît depuis mon premier EP. 

 

A : Quels rappeurs ont été tes principales inspirations ?

S : À l’époque, on écoutait beaucoup ce qui se faisait aux US. En général ce qui m’inspirait, c’était plus le rap new-yorkais, 50 Cent, G-Unit, Mobb Deep, Diplomats, Dipset, Cam’ron, Juelz Santana… Et Lil Wayne par la suite. En rap français, j’écoutais ce qui se faisait. J’écoute de tout, mais je ne sais pas si je me suis inspiré d’un artiste en particulier. Je suis un peu la somme de tout.

 

A : Au début des années 2010, ton groupe signe chez Golden Eye Music, qui est en quelque sorte l’ancêtre de SPKTAQLR, avec déjà Oumardinho aux manettes. Qu’est-ce qui a fait que la relation professionnelle avec Oumardinho s’est étendue jusqu’à aujourd’hui ?

S : Oumardinho, c’est quelqu’un de très humain, même dans ses relations professionnelles. On a noué une relation qui est devenue très familiale au fil des années, et c’était déjà le cas quand il nous signe avec mon groupe. Il a eu la démarche de venir nous parler presque en tant que grand frère, sans nous faire miroiter trop de choses, et il nous disait déjà que ce qui nous ferait progresser ça allait être notre travail. Il a toujours eu cette valeur travail, et humainement, on a gardé contact même au-delà de cette aventure. On est devenus très proches, il venait souvent à Marseille, moi, quand je montais à Paris je venais le voir. C’est grâce aux valeurs qu’on a en commun qu’on est encore là aujourd’hui.

 

 

A : Qu’est-ce qui a fait que l’aventure de groupe s’est arrêtée ?

S : C’est la vie, chacun a pris des directions différentes. Tout le monde n’avait pas vocation à devenir rappeur professionnel après ça, chacun avait ses aspirations. On s’est séparés avant même de sortir un projet chez Golden Eye d’ailleurs. 

 

A : C’était facile de devenir un rappeur solo après cela ?

S : Non, y’a toujours une période compliquée, t’as beaucoup plus de travail, parce que t’as plus de couplets à faire, tu dois trouver ta direction tout seul. Ça n’a pas été facile, et c’est une recherche qui a duré très longtemps. Je me posais la question de si je pouvais endosser le rôle d’un rappeur solo, si j’en avais envie, aussi. Ça s’est fait avec le temps. 

 

A : Tu as eu quelques singles solo à gauche à droite, notamment un sur une mixtape d’Alonzo en 2015, mais tu finis par sortir un EP, Base 015 en 2020, avant Mode Sport, le prédécesseur du projet que tu sors actuellement, en 2021. Que s’est-il passé dans ta vie entre la fin de Lygne 26 et le vrai début de ta carrière solo ?

S : J’ai eu cette période de remise en question, et plein d’essais infructueux. Je ne voyais pas forcément le rap comme une voie professionnelle, de base, c’était plus mon entourage qui me poussait à y aller car il pensait que j’avais ma place. Entre 2015 et 2020, je me suis structuré, j’ai monté mon studio, j’ai fait l’apprentissage de l’indépendance dans le rap. Ça a été un parcours un peu long mais très utile pour la suite. 

 

A : Pourquoi revenir avec un volume 2 de Mode sport aujourd’hui ?

S : C’est un de mes projets qui a eu le plus de résonance, le featuring avec Alonzo avait bien marché. Même dans une scène un peu plus underground, c’est un projet qui m’a ouvert pas mal de portes. C’est avec ce projet que j’ai eu des connexions avec des artistes comme La Fève, ou des campagnes que j’ai pu faire avec des marques. J’ai été joué par la radio OVO, via le fondateur Oliver El Khatib, j’ai fait pas mal de scènes… En fait, je voulais donner un autre chapitre à ce projet, et au-delà du projet, c’est un état d’esprit, qui correspond bien à ce que je suis depuis que je me suis lancé pour de bon en solo en 2020. 

 

A : Comme on l’a dit, tu es désormais signé chez SPKTAQLR. Comment s’est faite cette signature ?

S : Ça s’est fait naturellement. Les trois projets précédents, je les avais signés en distrib, dans un label chez Sony, donc je faisais beaucoup d’allers-retours sur Paris, je passais souvent aux bureaux d’Oumardinho. À la fin du contrat de distrib, j’ai fait un petit bilan de ce qui s’était bien et moins bien passé, je lui ai parlé de mes opportunités de signature et il s’est proposé de m’accompagner, ça s’est fait tout naturellement. 

 

A : La présence d’artistes comme Dinos ou Dosseh à tes côtés te pousse-t-elle à te surpasser ?

S : C’est sûr qu’avoir des collègues de travail comme ça, qui ont eu des succès qu’on n’a plus besoin de présenter, ça fait passer à un échelon supérieur au niveau de la discipline. Ça t’enrichit, et tu continues d’apprendre, ça te fait donner le meilleur de toi-même. En termes d’exigence, on arrive au très haut niveau. 

 

 

A : La Fève est présent sur ce projet. Tu as en quelque sorte contribué à sa percée, puisque tu étais en featuring sur sa mixtape ERRR. Est-ce que tu sentais déjà au moment de votre première collaboration qu’il obtiendrait aussi rapidement ce statut ?

S : Pas du tout. Je le découvre à l’époque de Kolaf, son premier EP en duo avec Kosei, qui est lui aussi originaire de Marseille. J’apprends qu’il y a un jeune talent qui fait des prods dans l’identité musicale que j’essaie d’apporter à mon rap. Je le contacte, il se retrouve sur Mode Sport 1, il fait le son Mode Sport Freestyle, et c’est de là que La Fève me contacte. Je ne m’attendais pas du tout à ce qu’il ait le statut qu’il a aujourd’hui. Pour l’avoir côtoyé en studio et pour avoir travaillé avec son équipe, je sais qu’il est tout le temps en studio. C’est pour ça qu’on ne le voit pas beaucoup. 

 

A : Même La Fouine, qui en a pourtant vu passer, des rappeurs, est dithyrambique envers lui sur cet aspect.

S : C’est ça qui fait qu’on ne l’attendait pas mais qu’il est quand même aussi haut aujourd’hui. 

 

A : Il y a donc La Fève sur ce projet, tes collègues Dinos et Dosseh, mais aussi Ashe 22, Kay The Prodigy, Skefre et Zamdane. C’était important pour toi de ramener un casting aussi varié sur ce projet ?

S : En vrai, c’est des artistes que je kiffe, en perso, certains que je connais depuis des années, et ils peuvent tous se retrouver dans mon univers. Même s’ils sont tous différents, il y a une forme de cohérence musicale, qui leur donne tous leur place. Le projet, je l’ai construit comme une mixtape, sans vraiment de direction artistique précise, mais en travaillant plus ou moins avec les mêmes compositeurs, ça a créé cette cohérence. Et les artistes invités ont été de belles rencontres, avec des coups de cœur comme Skefre et Kay The Prodigy. 

 

A : Tu as participé au deuxième volume de 13 Organisé, quel bilan tires-tu de cette expérience ?

S : C’était une bonne expérience, fédératrice, c’est des moments particuliers, spéciaux, que tu partages avec les artistes de ta ville. Y’a quelque chose de beau dans la démarche, et j’en tire que du positif. Ça a permis de faire des rencontres. On est de la même ville, on se connaît un peu tous sans se connaître vraiment, et ça a permis de créer des ponts.

 

A : À la fin du morceau Où sont mes loves, où sont mes gens, il y a un extrait audio du film Ma 6T va crack-er. Dans l’intro, tu as samplé un extrait du même film, et Ashe 22, qui est aussi sur le projet, sort ce vendredi la Movie Tape 2. Est-ce que tu as envie d’apporter un aspect plus cinématographique à ta musique ?

S : J’essaie d’allier l’image et la musique, pour permettre à l’auditeur d’avoir un degré de lecture différent sur ma musique. On avait déjà fait ça sur Mode Sport 1, il y avait des dialogues, pas de films mais de personnes proches. Il y a un aspect cinématographique dans ma musique parce que je pense que les deux sont intimement liés.

 

 

A : Après cette mixtape, est-ce que tu penses à un format album ?

S : On est déjà en train de travailler sur la suite, c’est la prochaine étape. J’ai pas encore de date, mais y’a beaucoup de sons qui ne demandent qu’à sortir. Il y aura forcément un album, mais quand, je ne peux pas te le dire. 

 

A : Vu que cet album va arriver relativement tard par rapport au début de ta carrière, est-ce que tu te fixes une date limite pour durer dans le rap ?

S : Tant qu’il y a l’envie, la passion, le niveau surtout, je vais continuer. Après, je ne vais pas rapper toute ma vie. Je me sens encore frais, je suis écouté par des jeunes, je suis contacté par des artistes de toutes les générations, donc ça veut dire que je suis encore pertinent dans le propos et dans la musique. Donc je ne me pose pas plus de questions, je ne pense pas à la fin, même si tout a une fin. 

 

A : Est-ce qu’il y aura de la scène pour accompagner Mode sport 2 ?

S : On fait une release à La Boule Noire ce jeudi, veille de sortie, ma première date solo parisienne. J’ai déjà fait des plateaux, des festivals, notamment la première de Yardland l’année dernière, et d’autres plateaux multi-artistes en région parisienne où à Lyon. J’espère qu’on va réussir à défendre le projet sur scène, et que la deuxième, troisième date… vont arriver vite. La scène, c’est une partie du métier que j’apprécie beaucoup, c’est un kif. 

 

 

A : Il faut se mettre en Mode Sport pour assurer le spectacle ?

S : Obligé ! Sur scène, je donne tout. On a fait le Arte Dans le club, aussi, y’a pas longtemps, avec Dinos, les gens qui l’ont vu savent. Attendez-vous à ce que je donne pendant mes shows, et à ce que le public adopte le Mode Sport avec moi.

 

 

La mixtape Mode Sport 2 de Steban est disponible sur toutes les plateformes de streaming.

 

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