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Eline, vingt-deux ans, est une rappeuse en pleine ascension. La jeune femme originaire de Saint-Leu-la-Forêt a sorti le 20 octobre 2022 son premier album, 335, et a récemment participé au Levi’s Cypher Project, aux côtés de B.B. Jacques, Le Chroniqueur Sale et Raska. En pleine ascension, elle revient pour Scred Magazine sur son début de carrière et son parcours.

 

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ADRIEN : Bonjour Eline, avant de parler de ton projet 335, j’aimerais revenir sur ton parcours. Dans quel environnement as-tu grandi, y avait-il beaucoup de musique à la maison ?

ELINE : J’ai commencé à faire de la musique quand j’étais petite, je pense vers cinq ou six ans. J’ai fait l’école de musique, avec mon frère d’ailleurs, j’ai fait cinq ans de piano. Mes parents ont voulu que j’ai cet éveil musical, avec le solfège et la chorale notamment. Après ça, j’ai pas continué plus que ça, à la base j’aurais jamais cru me lancer dans ça, et encore moins dans le rap.

 

A : Qu’est-ce qui t’a fait entrer dans le rap, d’abord en tant qu’auditrice ?  

E : C’était au collège, j’ai suivi un peu les tendances de ce qui sortait. C’était vraiment du Booba, du Kaaris, Joke… La playlist de Skyrock en vrai. J’ai commencé là-dedans, et je m’y suis vraiment intéressée plus tard, quand j’ai commencé à écrire.


A : À quel moment l’envie de devenir rappeuse est-elle née en toi ?
 

E : J’étais en école d’audiovisuel, et pendant mes études, je traînais avec des rappeurs. Entre potes, ça écrit des freestyles, donc je me suis prise au jeu. Je mettais des prods, j’essayais d’écrire, j’ai cherché un peu, jusqu’à me dire « Pourquoi pas écrire mes propres chansons, et pouvoir vraiment exprimer des choses dont j’avais jamais osé parler ? ». J’ai rencontré quelqu’un qui m’a fait comprendre que j’avais vraiment du potentiel, et là ça a fait un déclic qui m’a poussé à me lancer.

 

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A : Ärsenik disait que le rap est une Affaire de famille, une expression que tu appliques à la lettre parce que tu travailles surtout avec ton frère, Tsmabeatz. Est-ce que votre complicité fraternelle vous aide dans la création musicale ?

 E : Oui, totalement, parce qu’on écoute les mêmes sons, on est hyper connectés, depuis toujours on s’entend super bien. C’était une évidence de travailler ensemble, on s’est lancés en même temps, lui dans les prods et moi dans l’écriture. On s’est regroupés pour faire un duo, plus on avance ensemble, plus on sent une évolution artistique, on sait vers quoi on veut aller.


A : Est-ce difficile de travailler avec un autre producteur que ton frère ?

E : Non, c’est pas difficile, je l’ai déjà fait en vrai. J’ai déjà posé sur d’autres prods, travaillé avec d’autres personnes dans la musique, mais là où c’est le plus pertinent c’est avec mon frère parce qu’on a vraiment cette connexion. Parfois j’ai pas besoin de lui parler pour que de lui-même il ait cet instinct créatif et qu’il propose des choses que j’aime.


A : La place des femmes dans le rap français  a toujours été sujette à débats à toutes les époques. En tant qu’auditrice puis artiste, t’es-tu toujours sentie représentée en tant que femme par les rappeuses que tu as écoutées ?
 

E : Je ne me ressentais pas forcément dans les rappeuses en particulier, je m’identifiais autant à des filles qu’à des garçons, bien qu’elles soient très talentueuses.


A : Que signifie le titre de ton premier projet long format, 335, sorti en octobre 2022 ?
 

E : Je t’ai parlé de mon école d’audiovisuel, à cette période j’habitais dans un campus, dans la chambre 335. Pour moi, elle symbolise un peu ce côté indépendant, parce que je vivais toute seule là-bas, c’était la première fois que je partais de chez moi. Tu sais plus trop si t’es encore une enfant ou une adulte, tu prends un peu ton envol dans la vie. C’est aussi significatif parce qu’il y avait également cette phase de doute, quand je me demandais si je voulais continuer dans l’audiovisuel ou dans la musique, suivre mes rêves ou pas. Y’a plein de choses qui se sont passées à cette période, des doutes, des hésitations, des peines de cœur, des choses comme ça… Cet endroit est hyper symbolique, et mon frère, qui a fait la même école que moi ensuite, a repris cette chambre quand je suis partie, donc je trouvais aussi ça cool d’appeler le projet comme ça parce que ça nous lie.


A : Comment le qualifies-tu, est-ce une mixtape ou un album ?
 

E : C’est un album pour moi, parce que je voulais vraiment quelque chose qui me présente, et je trouve que c’est une bonne façon de me présenter, par le côté symbolique de l’endroit, le lieu, et ce que je vais raconter dedans, mon parcours, mes états d’âme, tout ça, ça représente une partie de ma vie. J’ai plus envie de le considérer comme un album, qui montre toute la palette de ce que je sais faire.

 

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A : Dans le morceau éponyme, 335, une phrase revient dans le refrain : « Quelqu’un m’entend au-delà de la room ? ». Est-ce que raconter ton histoire à un public de plus en plus large t’aide à te sentir plus comprise ?

E : C’est pas que ça m’aide à me sentir plus comprise, c’est que d’autres personnes peuvent se sentir comprises en fait. Je parle de choses qui peuvent les toucher, ils peuvent s’identifier à mes paroles. Mais sinon, cette phrase, c’était plus parce que je faisais ma musique dans mon coin dans ma chambre, et que je me demandais si quelqu’un allait m’entendre et me repérer. J’étais pas encore sûre que tout cela allait aboutir à un projet concret.

 

 

A : Dans tes morceaux on ressent à la fois une artiste qui rêve de succès et une femme qui semble fuir les lumières. Est-ce que la célébrité est quelque chose qui t’effraie ?

E : Je pense que tous les artistes aimeraient qu’on les laisse tranquilles quand ils sont dans leur intimité. Évidemment que ça fait partie des inconvénients auxquels je m’attends dans le futur, mais je ne me vois pas faire autre chose que la musique dans ma vie, donc je suis prête à accepter les mauvais côtés du métier, il y en a tellement de bons aussi. C’est parfois dans l’extrême, donc ça peut faire peur, mais il faut juste être bien entourée pour garder la tête sur les épaules.


A : Tu as également un rapport à l’image que tu peux renvoyer qui rappelle celui qu’a Nekfeu dans des titres comme Réalité augmentée, que tu mets notamment en avant dans le morceau 100 filtres. Est-ce que l’évolution de ta carrière te pousse à reconsidérer l’utilisation que tu fais des réseaux ?
 

E : Forcément, parce que, surtout quand on commence à prendre en visibilité, il faut faire attention à ce qu’on montre. Il ne faut jamais subir, et savoir se contrôler dans des situations qui peuvent être délicates. Ça ne montre qu’une seule facette de toi, mais ça ne représente pas ce que tu es vraiment, et il faut en être conscient. J’en parle un peu dans 100 filtres effectivement, c’est un peu la phrase bateau “faut pas juger un livre à sa couverture“, faut creuser un peu plus pour connaître davantage les gens.


A : Dans POV, tu te mets dans la peau d’un homme infidèle. Le côté Don Juan est parfois mis en avant dans l’egotrip de certains rappeurs, et donne parfois d’immenses succès, comme Macarena de Damso. En tant que femme, est-ce que tu penses qu’une inversion de point de vue manquait au rap français ?
 

E : Je l’ai pas pensé comme ça, mais je suis quelqu’un d’assez empathique, donc assez naturellement, j’arrive à me mettre à la place des autres. Je trouvais la manière d’aborder la chanson un peu amusante, originale. C’était pas forcément calculé, c’est venu comme ça. En vrai, dans ce titre je me mets à la place d’un garçon, mais le personnage peut aussi très bien être une fille, c’est juste une histoire que je racontre.


A : Penses-tu que le public francophone soit prêt à accepter un Macarena inversé, avec u
ne femme dans le rôle de Damso ? 

E : Je pense que oui, aujourd’hui on peut tout entendre tant que c’est fait de la bonne façon et que ça reste subtil et qualitatif. Si une fille arrive en mode ultra egotrip et tout, je pense que ça peut matcher, ça peut plaire. Après tout le monde ne sera jamais d’accord de toute façon…

 

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A : À la fin du projet il y a davantage de prises de risques, avec beaucoup d’expérimentations, notamment sur Look alive. Est-ce important pour toi de surprendre ton public en ne lui donnant pas toujours ce à quoi il s’attend ?

E : Ouais, totalement. J’aime bien le côté surprenant dans la musique, pas linéaire, pas prévisible. Le côté surprenant fait que t’as envie de réécouter le son, et de te faire des petits kifs à certains moments. J’aime bien les prises de risque de ce genre, apporter une touche d’originalité par des sonorités que l’on n’entend pas partout.

 

A : Tu as participé récemment au concours Levi’s Cypher Project, avec l’appui de Raska, B.B. Jacques et Le Chroniqueur Sale. Tu as pu ainsi rencontrer d’autres artistes émergents, Dracks, Skydd, James Marron et Koss. Comme dans l’émission Nouvelle École, par laquelle est d’ailleurs passé B.B. Jacques, on a senti une vraie complicité entre les différents artistes. Est-ce que cela pourrait déboucher sur de futures collaborations avec des artistes sur le papier assez éloignés de ton univers ?

E : En vrai, ils sont pas tant éloignés que ça, sur le cypher qu’on a fait tous ensemble, je trouve qu’il y avait une certaine cohérence. Justement, hier, j’étais en studio avec Dracks, et on parlait d’éventuellement collaborer, pour le fun ou pour quelque chose de concret. Après, est-ce qu’on va sortir des feats ensemble, les uns et les autres, je ne sais pas, mais pourquoi pas ?


A : B.B. Jacques et Le Chroniqueur Sale sont quant à eux un rappeur et un beatmaker confirmés, est-ce que tu as pu apprendre à leurs côtés lors de cette expérience ?

E : Leur expérience est extrêmement enrichissante, c’est sûr, ils ont du vécu dans ce milieu. On pouvait leur poser toutes les questions que l’on voulait, ils nous ont conseillés, donc j’en ai profité pour beaucoup apprendre.

 

A : Est-ce que, depuis la sortie de la vidéo sur la chaîne de Raska, tu as pu mesurer l’effet que tes prestations ont pu avoir sur le public ?

E : Oui, j’ai eu pas mal de bons retours sur ma partie du cypher. Dans les commentaires de la vidéo, y’a pas mal de gens qui ont aimé ma partie, et de plus en plus de personnes me suivent, c’était une belle opportunité que j’ai su saisir.

 

A : Toute cette nouvelle lumière sur toi te donne-t-elle davantage envie de continuer à défendre le projet 335 ou d’enchaîner rapidement avec un autre ? 

E : J’ai envie de continuer à promouvoir 335, j’en ai pas fini avec ça, y’a encore des petites surprises qui arrivent pour valoriser le projet. Il y a aussi la scène, c’est l’occasion parfaite pour partager directement les sons que je fais. Le 8 février, je suis au FGO Barbara, et je suis aussi en première partie de Yuston XIII à La Boule Noire le 12 mars, avant d’autres dates à venir par la suite.

 

A : Scred Magazine suivra la suite avec plaisir.

 

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L’album 335 d’Eline est disponible sur toutes les plateformes de streaming.

Interview réalisée par Adrien

 

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